Entre 2005 et 2011, 2 contributions à deux dates différentes à propos du sociodrame et 1 troisième texte portant sur l’outil ELP.
2011, « Jouer pour pouvoir penser. Le sociodrame, un atelier de jeu scénique groupal », in J. Dubois (Dir.), Les aspects sociaux du théâtre hors ses murs, Paris, L’Harmattan, coll. « Logiques sociales »
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http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=34749
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http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=article&no=21663
2008, « Professionnalisation des personnels éducatifs et démarches d’évaluation : l’exemple de l’« Entretien pour L’élaboration du Projet », in M. Boutanquoi et J.-P. Minary (Dir.) : L’évaluation des pratiques dans le champ de la protection de l’enfance, Paris, L’Harmattan, Coll. « Savoir et Formation », série « Protection de l’enfance », pp. 117-132 [en collaboration avec Marie-Jeanne Collignon et Pierre-André Dupuis]
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http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=26264
2005, « Le sociodrame : espace pré-thérapeutique », in B. Gaillard (Dir.) : Les violences en milieu scolaire et éducatif. Connaître, prévenir, intervenir, Rennes, Presses Universitaires de Rennes, coll. « Didact Education », pp. 341-349.
Cette contribution rend compte cliniquement d’une expérience menée avec des adolescents psychopathes confiés à une institution chargée de les rééduquer et de les réinsérer. Les adolescents dont il est ici question ont pour résoudre les tensions qu’ils rencontrent nécessairement recours à un agir qui, s’il ne règle rien sur le fond des problèmes, a pour mérite d’abaisser temporairement les tensions rencontrées. La verbalisation et la symbolisation ne sont donc pas les modèles préférés de leur mode d’échange et de relation qui dégénèrent le plus souvent dans différentes formes de comportements violents. Envisagé de cette manière, le sociodrame constitue une étape première sur le continuum de la prise en charge du malaise important dont souffrent ces adolescent psychopathes ; étape indispensable où il s’agit plus de partager une expérience, de la vivre, de la mettre en forme puis en mot que d’en interpréter les sens potentiels qui serait l’objet d’une seconde étape. C’est pourquoi on peut parler d’un espace pré-thérapeutique.
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